• Bonjour

    si vous allez sur le site ci-dessous

    "clubstersante.com"

    vous pouvez vous inscrire à une très intéressante conférence où Yannick Boucher, de la Voix du Nord, va vous apprendre ce que vous devez faire pour être "lisible" dans la presse régionale. Le 14 septembre, de 10h à 12h, au Bio-incubateur d'Eurasanté.

    Comme j'ai manifestement beaucoup de choses à apprendre dans le domaine, je me suis inscrit immédiatement.

    Comme ça, avec l'aide des bons conseils de Yannick Boucher, j'aurai peut-être droit à une ligne lors de la parution de mon prochain ouvrage dans la Voix du Nord.

    La discussion risque d'être passionnante.

    B. Boussemart


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  • Bonsoir

    Ayant été, il y a longtemps et pendant de nombreuses années, abonné au Nouvel Observateur (ils peuvent vérifier), je suis consterné par une approche - de trop - concernant les riches contribuables. Où est Daniel ? Aux abonnés absents de longue date ; ou devenu totalement aveugle ? Avec quels journalistes dignes de ce nom ?

    Ce nouvel article sur l'imposition "volontaire" des riches est non seulement une absurdité (voir l'article 71 ci-dessous), mais aussi une confirmation de la désinformation que publie sa filiale Challenges. Malheureusement.

    En cette période électorale, l'idéologie n'est plus du tout à l'Obs. Encore moins à Challenges !!!

    B. Boussemart


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  • Bonjour

    Depuis quelques jours, nouvelle grande idée répandue dans la presse française à partir de l'exemple des grandes fortunes américaines demandant à ce qu'on augmente leurs impôts. De qui se moque t-on à nouveau ?

    Ce n'est pas en augmentant les impôts sur les riches que l'endettement mondial va disparaître. L'origine de ces grandes fortunes donne par contre la solution.

    Elles se sont constituées à partir du libéralisme débridé et spéculatif pour certaines d'entre elles, avec le dépeçage de sociétés rachetées (souvent avec la complicité des Etats) pour des francs symboliques ou des bouchées de pain, suivies de restructurations sauvages, de plans de licenciements et de reventes avec des plus-values ; avant de réutiliser ces plus-values pour le coup financier suivant.

    Elles s'appuient toutes sur l'exploitation éhontée des salariés, qui a modifié la répartition de la valeur créée en faveur des profits plutôt que des salaires. Et en substituant à ces salaires de l'endettement, favorisé par les banquiers, et des modes de consommation de produits "pas cher" fabriqués dans un tiers-monde qui se faisait exploiter, avant l'irruption de la Chine dans ce  beau schéma. C'est ainsi que l'économie mondiale s'est constituée, et se retrouve finalement avec des dettes partout : chez les particuliers, chez les banquiers, dans les entreprises et au niveau des Etats.

    Ce sont donc les pratiques qui ont permis de créer ces grandes fortunes qui sont en cause. Qu'on y réfléchisse un peu, avant de tendre une sébile, et de donner une absolution à ces riches contre quelques deniers. Démonstration de tout ceci dans notre prochain ouvrage.

    B. Boussemart

     

     


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  • Télécharger « mod_article4937091_1.pdf »

    En cliquant sur le lien ci-dessus, vous aurez la véritable valorisation de la fortune de Pinault. Très largement surestimée par Challenges. Mais c'est une mauvaise habitude, pour qui ne sait compter que les "plus", en oubliant totalement les "moins". La suite (et les compléments dans notre prochain ouvrage).

    Comme pour Arnault.

    Bonne lecture

    B. Boussemart

    PS. La question de la dette posée par un honorable correspondant ce lundi 15 août renvoie bien évidemment aux mêmes critères que pour les Etats. En mai 2011, le groupe Pinault était noté par Standard & Poors à la note "BBB-" ; alors que le groupe LVMH (qu'il ne faut pas confondre avec le groupe Arnault, bien plus endetté et risqué) était noté A.

    Les notes de Standard & Poors vont de la meilleure (AAA) à la moins bonne (D) en passant par les intermédiaires AA+, puis AA, puis AA-, puis A+, A, A-, BBB+, BBB, BBB-, BB+, BB, BB-, B+, B, B-, CCC, CC, C et D. Pour AAA, vous êtes en sécurité maximale ; de AA+ à AA-, vous êtes en qualité haute ou bonne ; de A à A-, vous êtes en qualité moyenne (Groupe Auchan est noté par exemple en A) ; pour BBB+ à BBB-, vous êtes en qualité moyenne inférieure ; de BB+ à BB-, vous êtes en spéculatif ; de B+ à B- vous êtes en hautement spéculatif ; et à partir de CCC, vous avez de très gros risques, jusque le défaut de paiement en D.

    Si nos groupes étaient à la place des Etats, il y a longtemps qu'il y aurait eu des problèmes. Qui a dit qu'il n'y avait que les Etats qui étaient lourdement endettés ? Qui n'a pas dit que les particuliers sont aussi lourdement endettés (voir la crise des subprimes comme exemple), tout comme les entreprises ?

    B. Boussemart

     


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  • Bonsoir

    Devant tant d'âneries commentées ces derniers jours, surtout sur les agences de notation (cf. la perte du AAA par les Etats-Unis), il n'est pas inutile de voir qui se cache derrière ces agences de notation. J'aurai l'occasion d'en dire plus dans mon prochain ouvrage sur les grandes fortunes, les banquiers et les politiciens ; mais d'ores et déjà, il faut noter ceci.

    L'agence Fitch est une filiale de Fimalac. Cette denière société, française, a pour président Marc Ladreit de Lacharrière. Et ce dernier se retrouve comme administrateur dans divers conseils, comme L'Oréal, Casino, Renault. Marc Ladriet de Lacharrière a également eu des responsabilités chez Indosuez ; il est membre du conseil consultatif de la Banque de France. Excusez du peu !!!

    En d'autres termes, ces agences dépendent de sociétés côtées en bourse elles-aussi (comme la société Fimalac). Ce n'est pas seulement le serpent qui se mord la queue ; c'est l'amphisbène. Ou mieux encore, le mythe de Janus.

    On nous prend vraiment pour des idiots ; pour nous faire avaler la prochaine pillule de la rigueur.

    Ah oui, j'oubliais. Monsieur Marc Ladriet de Lacharrière vient de racheter - en très bonne compagnie, notamment Laurent Fabius, Jérôme Clément (Arte), Serge Weinberg, Christian Blanckaert (ex-Hermès) et Charles-Henri Filippi (ex cabinet de Georgina Dufoix)) - la société Piasa à ... la grande fortune Pinault.

    Quand je disais : que des gens de bonne compagnie.

    Nous y reviendrons bientôt. Dans l'attente de résultats boursiers aussi erratiques. You know why ? I'm happy !

    B. Boussemart


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