• Article 16. Portraits de famille. 1. M. Gérard Mulliez. "Le mal ne fait pas de bruit ; le mépris fait beaucoup de mal".

    Les salarié(e)s Pimkie vont passer un second réveillon dans le froid, avec en majorité des mères de famille, qui auraient certainement mieux aimé être avec leurs enfants et leurs proches, chez elles.
    L’AFM contrôle via « Suramac SAS » plus de 90% du groupe Pimkie, Orsay et Xanaka. L’AFM met souvent en avant sa devise « Le bruit ne fait pas de bien, le bien ne fait pas de bruit ».La grève des salariés de Pimkie fait pourtant beaucoup de bruit.
    Chaque jour de grève supplémentaire, nous allons publier un article pour chaque composante de la famille ; avec pour devise : « Le mal ne fait pas de bruit ; le mépris fait beaucoup de mal ».

    Chaque article sera présenté de la manière suivante :
    - les membres de la composante familiale, leur rôle dans l’AFM et l’estimation de la fortune de la composante ; y compris les autres investissements immobiliers.
    - les féaux et leurs récompenses financières.

    A tout seigneur tout honneur ; le premier article est consacré à M. Gérard Mulliez.
    Qui ne sait pas encore que M. Gérard Mulliez est à l’origine de la création du groupe Auchan, et qu’à partir de cette société, il a développé le groupe Mulliez, pour la plupart de ses enseignes (Auchan, Leroy-Merlin et Boulanger qui sont en fait deux sociétés rachetées à leurs familles d’origine, Alinéa, Banque Accord, …) ?
    Inutile d’en faire le panégyrique ; M. Gérard Mulliez, surmontant sa timidité légendaire, a réussi au World Forum de Lille (voir articles 6, 7 et 8 de ce blog) une prestation qui y confinait. Passons donc à l’essentiel : la fortune de sa composante familiale. Elle comprend essentiellement deux sociétés en France : une société liée à l’AFM : la Société Civile (SC) Les Etangs ; et une Société par Actions Simplifiée (SAS) Ausspar. Il faut y ajouter une société aux Pays-Bas, Burgodam BV.

    1. Ausspar. Cette SAS ne publie plus de comptes depuis le 30/09/2004. Elle est cependant dans l’obligation de réaliser certaines opérations financières, dans le cadre de la réaffectation des sociétés entre l’AFM et chaque composante familiale. Ainsi Ausspar a dû fusionner une autre SC Investir dans la SAS Ausspar en juin 2008, afin de regrouper la participation familiale détenue sur Bunsha (groupe Kiabi) ; fusion confirmée par un acte du 1er décembre 2008.
    Cet acte est important. Que dit-il ?  
    Page 3 « Article Préliminaire. La société Ausspar a été créée par Monsieur Gérard MULLIEZ et les membres de sa famille afin de gérer un patrimoine familial et animer les sociétés qui le compose. Elle aura donc un caractère exclusivement familial, la propriété des actions constituant son capital étant exclusivement réservée :
    - aux membres de la famille de Monsieur et Madame Gérard MULLIEZ (Monsieur Gérard MULLIEZ, son épouse Bernadette, leurs descendants directs) ainsi qu’aux personnes morales constituées exclusivement par ses membres ;
    - aux salariés et dirigeants de la société AUSSPAR et/ou des filiales de celle-ci, tant qu’ils seront salariés ou dirigeants de la société AUSSPAR et/ou des filiales de celle-ci ».
    L’article 6.2 – Capital statutaire, indique comme conséquence :
    « Le capital social statutaire, qui peut être augmenté ou réduit dans les conditions prévues par la loi et les dispositions reprises au § 6.3 ci-après est fixé à la somme de 3 200 000 € et est divisé en 200 000 actions d’une valeur nominale de 16 € chacune réparties en trois catégories :
            a)     les actions de catégorie A dont les particularités sont les suivantes :
                (i) elles ne sont cessibles, sous réserve - pour les actions ayant fait l’objet d’une donation ou représentatives de biens ayant fait l’objet d’une donation - du respect des conditions et charges émises lors de cette donation  :
                           - qu’à un autre associé déjà titulaire d’actions de catégorie A
                          - ou qu’à un descendant en ligne directe de M. et Mme Gérard MULLIEZ, sous réserve que cette cession ait reçu préalablement l’accord des associés à la majorité des deux tiers (2/3) des actions ayant le droit de vote (une voix par action), le droit de vote étant alors exercé par l’usufruitier en cas de démembrement de la propriété des actions ;
                 (ii) elles ne sont pas remboursables par la société dans le cadre de la variabilité du capital social ;
                (iii) tout changement d’actions de catégorie A en actions d’une autre catégorie (B ou S ou catégorie nouvelle à créer) nécessitera l’accord des associés à la majorité des deux (2/3) des actions ayant le droit de vote (une voix par action), le droit de vote étant alors exercé par l’usufruitier en cas de démembrement de la propriété des actions.
            b)    les actions de catégorie B dont les particularités sont les suivantes :
                 (i) elles ne sont cessibles qu’à un autre associé déjà titulaire d’actions de catégories A ou B, ou à une structure juridique détenue par des associés déjà titulaires d’actions de catégories A ou B,
                (ii) elles sont remboursables par la société dans le cadre de la variabilité du capital selon les      conditions et modalités précisées ci-après.
            c)     les actions de catégorie S qui sont des actions de préférence dont les caractéristiques sont les suivantes :
                (i) elles ne sont cessibles qu’à un autre associé déjà titulaire d’actions de catégories A ou B, ou à une structure juridique détenue par des associés déjà titulaires d’actions de catégories A ou B,
               (ii) elles sont remboursables par la société dans le cadre de la variabilité du capital selon les conditions et modalités précisées ci-après,
              (iii) elles disposent des mêmes droits financiers que les actions ordinaires (catégories A et B) et donnent droit dans la propriété de l’actif social, dans le partage des bénéfices, dans le boni de liquidation, à une part proportionnelle à la quotité du capital qu’elles représentent. Par contre, elles ne sont pas assorties d’un droit de vote.
              (iiii) la souscription et la détention de ces actions de préférences sont réservées aux dirigeants et aux salariés de la société et/ou des filiales de celle-ci, la perte de cette qualité de dirigeant ou de salarié entraînant l’obligation de revendre immédiatement ces actions sous peine de se voir exclu ipso facto de la société. … »

    Deux points importants par rapport à ces éléments.

    - l’acte donne la répartition des titres entre les 3 catégories d’actions A, B et S. Sur les 176 005 actions du capital d’Ausspar avant fusion avec la SC Investir, nous avons :
                - 170 594 actions de catégorie A au nom de la SC Les Etangs (soit 96,93% du capital) ;
                - 4 226 actions de catégorie A au nom de la SC Investir (soit 2,40 % du capital) ;
                - 7 autres actions de catégorie A au nom de M. & Mme Gérard MULLIEZ et leurs 3 enfants ;
                - 479 actions de catégorie B inscrites au nom de M. Arnaud MULLIEZ ;
                - 699 actions de catégorie B inscrites au nom de Mlle Pascaline MULLIEZ.
    Le caractère dominant des actions A va être conforté par l’absorption de la SC Investir, qui donne lieu à la création de 10 948 actions Ausspar (pour les apports) et à l’annulation des 4 226 actions propres qui étaient détenues.
    Le capital global d’Ausspar passe alors à 182 727 actions ; et 500 des actions A sont transformées en catégorie B en faveur d’Amaury MULLIEZ, le troisième enfant. Les catégories A représentent plus de 99% du capital, et sont détenues à hauteur de 97% par la SC Les Etangs.

    - l’acte montre la nature des associés de catégorie « S », qui s’applique partout. Les « féaux » sont privilégiés, mais uniquement sur le plan financier. Ils n’ont pas le droit de vote, et doivent vendre leurs actions dès qu’ils ne remplissent plus les conditions de « salarié privilégié ». Ne les plaignons pas trop.

    En valorisation, il est indispensable de rappeler un autre point sur lequel nous avons insisté à plusieurs reprises dans ce blog, à savoir l’évaluation des « experts ».
    Que dit en effet le rapport de « Monsieur Daniel COLICHE, Expert Comptable - Commissaire aux comptes, Expert en comptabilité et en diagnostic d’entreprises près la Cour d’Appel de Douai, Expert près les tribunaux administratifs et la Cour d’Appel de Administrative de Douai » sur ces apports entre la SAS Ausspar et la SC Investir :
    « 2.2 Commentaires (page 3 du rapport de Monsieur l’Expert » : De multiples méthodes d’évaluation existent. Cependant, quelles qu’elles soient, elles incluent pratiquement toutes, l’une des deux données de base que sont :
    - l’actif net réévalué ;
    - la capacité bénéficiaire.
    Les critères utilisés pour l’estimation me paraissent donc pertinents dans l’optique d’une détention durable. En outre, les mêmes méthodes ont été retenues pour les deux sociétés participantes à la fusion.
    La détermination de la valeur de INVESTIR, société de portefeuille, repose sur la valeur mathématique après réévaluation de son portefeuille d’actions à la valeur des Experts. Il en est de même pour le portefeuille de la société AUSSPAR.
    Compte tenu de la détention durable sur le long terme des titres de participation des sociétés opérationnelles, la méthode retenue par les Experts pour ces sociétés est pertinente dans le cadre de cette opération.
    L’évaluation, à leurs valeurs mathématiques sous déduction d’une décote pour illiquidité de 30%, des parts INVESTIR et des actions AUSSPAR est donc pertinente. ».

     Ceci est un exemple, parmi d’autre, de la sous-évaluation officielle (et reconnue par les Experts selon des critères légaux) de la valeur des sociétés du groupe Mulliez. En d’autres termes, les « heureux actionnaires salariés » perdent au moins chaque année 30% de la valeur potentielle des titres, s’ils étaient évalués en bourse.

    Cette valeur (sous-évaluée de 30%) pour AUSSPAR est la suivante – après l’opération sur INVESTIR : 1 736 Millions d’euros (M€).
    Cette valeur peut être corroborée par les dernières opérations menant (voir article 15) aux « Surholding ». En effet, après avoir fusionné avec Soparchan B France, Soparsam (contrôlé à plus de 70 % par Ausspar, donc par M. Gérard Mulliez) avait dû se séparer de ses titres Groupe Adeo, Boulanger, et Agapes, pour ne plus détenir que des titres Groupe Auchan. Puis Soparsam a fusionné avec Groupe Auchan. La valeur de Soparsam est alors de 1 453,55 M€. Ausspar en détient au minimum 71%, ce qui donne 1 030 M€ environ.
    Ausspar détient en outre environ 10% de Groupe Adeo, Boulanger et Agapes, participations personnelles de la famille, hors AFM. Sur cette base minimum de 10%, ces participations valent aux estimations 2008/09 de la famille : 330 M€ pour groupe Adeo (action Adeo au prix de l’augmentation de capital du 2 juillet 2009), 30 M€ pour le groupe Agapes (action Agapes au prix de l’augmentation de capital de juillet 2008) et 20 M€ pour le groupe Boulanger (évaluation à partir des échanges de titres High Tech Multicanal Group).
    Il faut ajouter à ces titres les participations qu’Ausspar détient avec deux de ses frères dans Acadie, ou dans Kiabi avec son frère Patrick et l’AFM ; ou dans la société Coupole Finances au Luxembourg.

    2. La SC « Les Etangs ».

    Ausspar, comme nous venons de le voir, dépend de la SC familiale « Les Etangs ».
    Cette SC était en fait une composant de la SC commune de Gérard Mulliez et des ses 5 sœurs et frères : la SC GMC (Gérard Mulliez Cavrois). Cette dernière, domiciliée au 19, rue de Barbieux à Roubaix, comprenait 6 000 titres, dont 1 000 titres pour M. Gérard Mulliez et sa famille. La SC GMC a été dissoute en octobre 2005, permettant la répartition entre les sœurs et frères de l’héritage des parents. Cet héritage est composé des titres des 5 SCA Acanthe, Cimofat, Cimoflu, Valma et Valorest, et des titres de Claris NV. Nous en avons une estimation précise pour deux des frères : Patrick et Jean. Pour l’instant, nous donnons une évaluation moyenne ; nous donnerons les valeurs retenues pour chaque frère dans leurs portraits respectifs … un peu de patience.
    Disons pour simplifier que cette valeur atteint au moins 700 M€, pour sa seule partie AFM.

     Par suite, le cumul des valeurs AFM et Ausspar contrôlées par la SC Les Etangs atteint 2,4 milliards d’€uros.

    3. Burgodam BV au Luxembourg.
    A ces 2,4 milliards d’euros s’ajoute la participation détenue aux Pays-Bas, à savoir Burgodam BV. Cette dernière contrôle des titres à hauteur de 4,68 M€ ; ce qui est peu. Elle ne publie que des comptes très simplifiés, et la seule participation connue est celle du groupe Maco Pharma. Ce groupe ne publie pas de comptes consolidés ; néanmoins, à partir de l’augmentation de capital de 2009 de GMP B, la valorisation de la part détenue par la famille Gérard Mulliez peut être estimée à 30 M€.

    4. L’immobilier privé.
    Outre ces éléments patrimoniaux professionnels, la famille détient de multiples biens immobiliers. Les principaux sont contrôlés par des Sociétés Civiles Immobilières (SCI), qui présentent comme caractéristique la faiblesse de leur capital au regard de biens exigeant des financements élevés. Parmi ces sociétés, citons la Fondation Fontaine, qui avec un capital de 12 K€, a réussi à acquérir toutes une série de terrains aux intersections de Croix, Hem et Villeneuve d’Ascq pour 3 633 K€ ; ou la SC Fontaine, qui avec un capital de 1,2 K€ a acquis une propriété de 429 K€ ; ou encore la SC du Dôme, qui a acquis des terrains à Ramatuelle pour 429 K€. N’oublions pas la SCI Dule 01, transférée du patrimoine du fidèle Christophe Dubrulle vers celui de M. & Mme Gérard Mulliez pour 1 K€, et qui dispose d’un terrain de 147,5 K€ à Croix ; ou encore la SCI Recueil 2007 …

    Conclusion. Le patrimoine global de la famille Gérard Mulliez atteint sans difficulté 2,5 milliards d’euros ; en n’oubliant pas que les valorisations sont sous-estimées de 30% !

    Pour atteindre un tel montant, M. Gérard Mulliez a été secondé tout au long de sa carrière dans les diverses sociétés. Interviennent ici les sociétés « Stock-options », et les SC créées par les féaux, en lien plus ou moins direct avec la famille Gérard Mulliez (via les titres de catégorie « S »).

    5. Les féaux de M. Gérard Mulliez.

    Ils forment une garde rapprochée, où l’on trouve d’abord M. Christophe Dubrulle, le bras droit de M. Gérard Mulliez, tant sur Auchan que sur Leroy-Merlin dont il a assuré le redressement, et Mme Francine Vandamme, sa fidèle secrétaire de direction. Un autre homme de confiance émerge dans l’entourage depuis quelque temps : M. Vincent Delvoye.
    Suivent une série de cadres supérieurs, qui bénéficient de traitements de faveur, via d’abord Soparchan B en France, et depuis sa dissolution, Soparchan en Belgique. Il s’agit de MM John Roche, Jean Mailly, Marc Guermonprez, Michel Demoustier, Thierry Cavrois, Francis Lepoutre et Benoît Lepoutre ; ces derniers interviennent directement ou via leurs propres sociétés civiles.

    5.1. Le patrimoine de M. Christophe Dubrulle reflète ses états de services. Ainsi, en juin 1997, il bénéficie de l’attribution de 40 816 actions d’Auchan en échange de titres Leroy-Merlin dont il quitte les fonctions de direction. Valeur de cet apport à l’époque : 25,722 M€. Ce patrimoine n’a fait que croître au fil des années, via la création de sociétés civiles Chripa, Chripa 97, Paschris, Paschris 93 et Paschris 97 ; ces sociétés civiles se retrouvent en novembre 2007 sous la dénomination SC Sofampar n° 1, 2, 3, 4 et 5, avec comme gérant le Président de l’AFM en personne, Thierry Mulliez. Via ces sociétés, l’AFM prépare en fait la vente des titres possédés par Christophe Dubrulle, titres qu’il ne peut garder dès qu’il aura quitté ses fonctions à Groupe Auchan. Puis les sociétés Sofampar 1, 2,  3, 4 et 5 sont fusionnées avec groupe Auchan. La véritable valeur accumulée par M. Christophe Dubrulle apparaît alors : 60,225 M€, qui correspond  à 187 289 titres Groupe Auchan au cours de l’époque, soit 321,56 €. Qui a dit parachute doré ?

    5.2. Madame Francine Vandamme-Devos est aussi bien lotie, avec une SC Maber, des parts de la société belge Soparchan, et surtout une participation dans une nouvelle SC Les Bois, où elle figure comme actionnaires « S » en compagnie de M. Vincent Delvoye et de … la SC Les Etangs, représentée par M. Gérard Mulliez. La répartition des parts est de 9 496 parts A pour la SC Les Etangs, 474 785 parts S pour Mme Francine Vandamme, et 2 544 844 parts pour M. Vincent Delvoye. Créée en décembre 2008, elle dispose déjà d’un capital de près de 4 M€. Mme Francine Vandamme est par ailleurs une des principales actionnaires de la société belge Soparchan.

    5.3. Les autres cadres détenant du Soparchan en Belgique. Ces cadres, y compris Mme Francine Vandamme, et MM. Christophe Dubrulle et Vianney Mulliez, se partagent des titres pour une valeur de 42 M€ à fin 2008. La répartition des titres est la suivante, dans l’ordre des bénéficiaires : Mme Francine Vandamme (29,3%), MM. Francis Lepoutre (16,8%), Benoît Lepoutre (14,9%), John Roche (10,7%), Vianney Mulliez (8,3%), Christophe Dubrulle (7,3%), Thierry Cavrois (7,2%), Michel Demoustier (3,6%), Marc Guermonprez (1%) et Jean Mailly (0,9%).

    Tous les petits porteurs de parts Valauchan seront donc heureux d’apprendre qu’ils ne partagent pas la même pitance que ceux qui les dirigent. Mais après tout, ces derniers ont des décisions difficiles à prendre : n’est-ce pas à eux que l’on s’adresse lorsqu’il s’agit d’expliquer les réductions d’effectifs ?

    Demain. M. Patrick Mulliez et son principal féal : M. Richard Maurice, qui exerce actuellement ses talents dans les sociétés attachées aux composantes « Suramac » et Surmufil ».

    B. Boussemart

     


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  • Commentaires

    1
    patrick1
    Mercredi 25 Mai 2011 à 16:01

    au cours de l 'année 2009 , 16 millions d'euros de participations ont été distribuées au dirigeants de Soparchan belgique ou dirigeants d auchan, donc sur les 42 il ne reste que 26 millions!!!!!!!

    2
    benoitb Profil de benoitb
    Mercredi 25 Mai 2011 à 16:43

    Bonjour

    Nous sommes d'accord. Voir mon ouvrage "Le groupe Mulliez" en page 244. Soparchan Belgique est bien renseigné à hauteur de 26248 K€uros.

    B. Boussemart

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    3
    brasil
    Mercredi 21 Septembre 2011 à 16:56

    Bonjour

    je pense avoir compris le procédé de fraude; les actions soparchan  B de l'ancienne entité de Roubaix radiée depuis 2008  ont été apportées pour leur véritables valeurs à SOPARCHAN bELGIQUE; valeur du capital soparchan Roubaix environ 3 millions d'euros et valeur apportées 37 millions d'euros , la valeur réelle apportée en Belgique sans plus value déclarée permet donc de distribuer gratuitement aux actionnaires principaux telle Mdame  Vandamme ou M LEPOUTRE des participations auchan adéo ou autres sans que l'Administration fiscale française en ait connaissance!!!!

    En tous cas votre ouvrage est trés intéressant et l'Administration Fiscale Française trés absente!

    Patrick Lefevre

     

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