• Article 213 - La nouvelle organisation de Auchan Holding (ex-groupe Auchan)

    Bonsoir

    Le groupe vient d'annoncer des modifications organisationnelles importantes. Voir pièce jointe.

    Télécharger « AuchanHolding2015.pdf »

    Aucune information sur les conséquences de cette nouvelle organisation, sur les structures, sur les effectifs ... ça doit être cela, le nouveau dialogue social. Vous informer quand tout a été décidé ; il ne reste plus qu'à prier Saint Gérard et la CFTC pour que la casse sociale ne soit pas trop insoutenable - ce sont des histoires à perdre sa chemise !!!

    B. Boussemart

     

    Télécharger « Organigramme Auchan2015.pdf »


  • Commentaires

    1
    Samedi 24 Octobre 2015 à 10:01

    Le Dirlo qui va diriger la France a virê 1000 personnes en an....
    Malouf à disparu.

    (Un des mail reçus à propos de cette réorganisation.

    On pourrait dire aussi, tout change pour que rien ne change )

      • Eugène
        Jeudi 12 Novembre 2015 à 10:03

        Malouf a disparu ?

        Aux dernières nouvelles il dirige toujours AECF ou j'ai raté un épisode ?

    2
    Samedi 24 Octobre 2015 à 11:14

    Bonjour,

    En quoi ce jeux de chaises musicales et le passage en holding pourrait déboucher , à vous lire , à de la casse sociale ?!!!

    N'est-ce-pas au contraire une façon d'éloigner le ou les personnes qui sont en partie la cause de la déroute de cet enseigne ?

    Comme par exemple le retard pris dans la guerre des prix , les multiples plans et politique ne débouchant sur rien de concret , la recherche poussée de l'efficacité des employés avec le toyotisme ,la planification des horaires qui permet d'atteindre 42 heures par semaines sans augmentations du salaire , la suppression de nombreux postes d'employés de terrain comme si un rayon allait se remplir par magie etc etc etc etc !!!! Même si une marche arrière est à noter depuis 1 an !

    Merci .

      • Françoise
        Lundi 26 Octobre 2015 à 12:27

        Bonjour Isabelle auchanholding

        Un changement de direction à auchan, par exemple à la centrale de Villeneuve d’Ascq, c’est toujours la même chose.
        Convocation surprise obligatoire à la rotonde, ordre de laisser tomber tout ce que vous faites, ça n’a aucune importance pour eux.
        Rendez vous annulés, démerdez vous.

        La nouvelle équipe est là, ils s’auto congratulent en s’appelant pas leur prénoms.
        Comme on est pas censé les connaître à l’avance . . .

        Ils justifient la ré organisation en donnant des avis d’on ne sait qui, puisqu’ils ne donnent que les prénoms. Ils sont entre eux, comme toujours.
        Pour la présentation des nouveaux arrivants on ne parle que de leur fabuleux parcours, chef de rayon, puis de secteur, puis directeur de magasin, puis . . .
        On ne cite jamais leurs diplômes, leurs antécédents, leur famille, leurs écoles. . .
        On a que leur cursus des stages du fils à Papa.
        Ben oui, ce sont les enfants de la haute bourgeoisie régionale, qui viennent prendre leur part de bénéfices, ils vont pas le dire.
        Tout le monde il est beau, eux sont gentils, puisque c’est ton travail qui les fait vivre, grassement.

        Des chiffres, illisibles, sans queue ni têtes, sous entendu, ceux qui ne comprennent pas sont trop bêtes ou ne sont pas conviés aux bonnes réunions. Restez à votre place.
        Présentation d’une idée géniale qui va révolutionner les magasins, ou bien de la dernière tarte à la crème de ciberbranchés des écoles de commerce, histoire de ne pas parler de ceux qui mettent les produits en rayon et qui sont les seuls à faire rentrer les sous dans la société.
        Applaudissements obligatoires !

        Ils sont entre eux, avec leur grosses bagnoles qui ne pourraient être garées sur les parking des magasins. Ils ne sont pas aperçu que le monde changeait autour d’eux, cela ne se voit pas dans un tableau excel, ou durant les réunions familiales.
        Ils ne se sont pas aperçu que la clientèle change, que l’état des magasins se dégrade vu les licenciements, que la qualité, c’est toujours moins.
        Impressionnant le nombre de gens à fort pouvoir d’achat, ou bien de niveau universitaire, qui ne viennent en magasin que pour profiter d’une bonne occaz, et encore.

        Les doigts d’une main suffisent pour compter le nombre de clients qui achètent du bio un samedi après midi.

        La vrai ré organisation, on la verra plus tard dans la réalité. Nouveaux chiffres à rentrer dans les tableaux de bord de suivi d’activité, disparition de collègues, de société de services, malades; Il y a aussi le connard qui vient t’expliquer que son travail, c’est à toi de le faire dorénavant. C’est valable aussi pour les sociétés extérieures.
        Ton harceleur patenté, sur l’open space, fera toujours ses brefs passages, afin de vérifier si tu appliques bien les ordres non dits.
        En arrivant, il pose bien en évidence sa pochette de stylos Mont Blanc, afin de monter que tu ne viens pas d’une bonne famille.
        Ensuite, planification des réunions de service afin de t’empêcher de travailler. Il y a aussi le point sur ton activité, et je regrette beaucoup que mes collègues n’enregistrent pas plus leur contenu avec leur smartphone. Pour les conversations professionnelles, c’est autorisé.

        Je me demande parfois comment font les magasins afin de dégager autant de bénéfices.
        Ils sont entre eux, et entendent bien le rester.

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    3
    Samedi 24 Octobre 2015 à 18:42

    Cher Auchanholding

    Je n'ai jamais vu un changement d'organisation se traduire par de l'embauche. Holding ou pas, la question n'est pas sur le choix juridique de la structure financière. Il y a déjà pléthore : les 3 SCA et la société néerlandaise, puis Suraumarché et Aumarché, Sursoparfil et Soparfil, puis Claris BV, Austell Financière, Samauchan ... Tout cela, voir organigramme ci-dessus (dans le texte d'origine), pour contrôler Groupe Auchan, qui va désormais s'appeler Auchan Holding. C'est joli !!!

    En dessous, ça va décoiffer : chasse aux doublons dans les diverses structures (l'encadrement, je lui souhaite bien du plaisir), et la spécialisation (vous avez noté d'un côté le retail, pardon, le commerce, de l'autre l'immobilier, et enfin la banque). Cette spécialisation va entraîner inévitablement des modifications de métiers et de compétences ; donc des ajustements du travail (avec impact sur le nombre des salariés et la nature de leur travail). Petit exemple : vive le multicanal ; mais c'est quoi concrètement ? qui s'occupera de l'articulation entre les ventes dans l'hyper, le super, le magasin de proximité, le drive, et le e-commerce ? Avec quels moyens, et où (le pays, les fonctions d'appui, et avec quelles compétences et responsabilités respectives ?). D'autant qu'arrivent Système U et Metro ...

    Bien évidemment, il est tout aussi clair que la base va devoir continuer à ramer : le commerce ne peut se passer des petites mains. Mais quels seront les métiers dans ces articulations qui viennent d'être décrites ? En magasin, on va aussi faire du e-commerce ? La pub va proposer d'aller en centre ville dans les magasins de proximité ? L'hyper va travailler le dimanche, ou bien va t-on rediriger le client du Week-end vers les drives ? Puisqu'il faudra bien répondre 24 h sur 24 dans un tel schéma multicanal. Et quid de la logistique ? Pas seulement des approvisionnements ? mais aussi des réponses diverses proposées aux clients ? Y compris avec un service après vente ? Et de quelle qualité ? Et quelles carottes (comment calculer les performances ... alors qu'il y a 3 fonctions jugeant des performances, de l'efficacité et des ressources humaines), car il faudra bien répartir qui a réussi quoi ; et quels bâtons ?

    Bref ... Bien du plaisir, d'autant que tout est déjà décidé d'en haut. Les manants n'ont qu'a applaudir et à s'exécuter (dans tous les sens du terme).

    B. Boussemart

    4
    Lundi 26 Octobre 2015 à 09:00

    Merci pour cet éclairage !

    En attendant alors les futurs "pactes" qui vont être mis en place ...

      • Mercredi 28 Octobre 2015 à 22:46

        Pactes ?

        - Pacte avec le Diable ? Qui c’est le diable ?

        - Pacte de non agression ?
        Ça nous changerait !

        Anecdote personnelle chez les Mulliez pour dire ce qui s’y passe.
        J’ai enterré mon père un Samedi matin.
        Le Lundi matin quand j’ai repris les travail, à la première heure, mon ex supérieur hiérarchique, me convoquait afin de dire qu’il n’avait pas apprécié la façon dont j’avais annoncé son décès.

        Un pacte de servilité, certainement.

        Pour illustrer la vie dans les entreprises mulliez, extrait d’un article, paru dans le revue Z http://www.zite.fr/
        Bonne lecture, qui remet les choses à leur vraie place.

        « Je n’avais plus le droit de parler avec mes collègues, ensuite ils m’ont supprimé ma pause pipi »


        Rebecca  : On avait besoin d’un peu d’argent, on ne trouvait pas de boulot ailleurs. Chez Chronodrive, c’était facile. J’ai postulé par Internet. À l’entretien d’embauche, ils nous ont dit qu’il fallait être disponible le samedi, avoir de l’énergie, le sens du relationnel. On te propose un CDI d’office et tu choisis le nombre d’heures que tu veux. J’ai pris dix heures par semaine. Les employés sont tous très jeunes, il y a beaucoup d’étudiants.

        Le premier jour, les responsables de secteur étaient sympathiques, c’était très « On forme une grande famille ». Ils se présentent par leur prénom, on se tutoie tous. Ils te rassurent : « On sait que vous n’allez pas être rapide, ne vous inquiétez pas, faites à votre rythme. »
        J’ai découvert mon lieu de travail, un grand hangar avec des alignements d’étagères numérotées et des niveaux, numérotés également. Une sorte de supermarché sans clients. Moi, je travaillais au frais, à trois degrés. Ils nous ont donné un bonnet et des gants. Il faisait froid, j’étais

        un peu surprise. Après je me suis mieux habillée.

        « La montre-écran au poignet, ça leur permet de t’identifier »

        Le matin, tu mets ta montre-écran à ton poignet, une sorte de petit ordinateur. Tu fais ton code. Ça leur permet de t’identifier, c’est comme si tu pointais. Là, la première commande s’affiche, avec le nombre d’articles. Tu ne connais pas la nature des articles que tu vas chercher. Juste un chiffre qui correspond à un emplacement. Tu as un numéro pour le rayon, un autre pour l’étagère, un autre pour le niveau. Tu mets trois ou quatre articles par sac dans une caisse en plastique puis dans un chariot roulant. Ça peut être très lourd.

        L’objectif, c’est d’aller le plus vite possible, pour que le client ait ses courses dans son coffre rapidement. Le lendemain, tu as ton classement sur un grand tableau : ton nom, ton prénom et ton score. Les trois premiers classés sont surlignés d’une couleur, les trois derniers d’une autre couleur. C’est un score de productivité, calculé selon le nombre d’articles scannés en une minute et le nombre de commandes par jour.

        Au début ils te disent : « Tu fais les commandes comme tu peux. » Ensuite tu comprends qu’il faut courir si tu ne veux pas te faire engueuler. Dès que tu ne cours pas, le chef te voit. Il est à un angle de mur derrière une vitre, dans un bureau, et il crie dans son micro : « Rebecca je te vois, tu cours pas, là. Dépêche-toi ! » Il n’y a pas d’horloge, et j’ai même eu droit à des remarques uniquement parce que je regardais ma montre ! Les ordres t’arrivent par un haut-parleur dans le frigo géant. Tous les autres l’entendent.

        J’ai commencé à me faire punir.

        On ne m’avait pas dit que ce serait aussi physique. Même après plusieurs jours, je suis restée dans les dernières. J’ai commencé à me faire punir. Je n’avais plus le droit de parler avec mes collègues. Et puis ensuite ils m’ont supprimé ma pause pipi. Et pour moi c’est difficile de ne pas aller aux toilettes pendant trois heures ! Ma punition c’était aussi la mise en rayons. Il fallait mettre des cartons remplis de boîtes de conserve sur les étagères. On était quatre à le faire avec un seul escabeau. À la fin je ne faisais que ça. Physiquement c’était très dur. Quand on n’est pas bon, on n’a pas le choix. Mais entre nuls on s’entraide, parfois des collègues me filaient un coup de main.

        Julien : Au début j’étais à fond. C’est quand même admirable : les marchandises sont tellement bien classées. On m’a dit que le score de productivité minimum, c’était 200. Sans courir, on les faisait pas. « Dépêchez-vous, à Bordeaux ils courent », on nous répétait. L’obsession, c’était de passer devant ce magasin et que notre centre à Basso Cambo devienne troisième de France. Mais une fois que tout le monde eut atteint les 200, ça ne suffisait plus. Là tu commences à avoir la boule au ventre quand tu vas au boulot. Dès que tu as atteint un objectif, on t’en donne un nouveau. Quand tu sais que tu auras toujours un nouvel objectif, c’est démotivant, tu n’as plus envie de l’atteindre. Les chefs de secteur sont aussi en compétition entre eux. Ils nous disaient : « Vous comprenez, si vous ne travaillez pas, c’est moi qui ne vais pas atteindre mes objectifs. »

        « Le surgelé, c’est pour les rebelles. »

        Il y a différentes sonneries. Quand une commande attend depuis plus de trois minutes, ça sonne dans l’entrepôt. Et puis il y a la « cavalerie » : ça paraît ludique mais ça ne l’est pas du tout. C’est quand il y a plus de trois clients à l’accueil dont la commande n’est pas encore prise. Il faut décrocher de son poste pour aller s’occuper d’eux. Mais attention, interdit de courir quand on livre, « ça stresse le client ».
Je travaillais de 5 h 30 à 8 h 30 du matin. Tu as trois minutes de pause par heure.

        Moi, j’avais un contrat de douze heures réparti sur quatre ou cinq jours. Je gagnais 350 euros. Mais je faisais tout le temps des heures supplémentaires. T’as pas vraiment le choix. Ils préfèrent les contrats à temps partiel, comme ça ils comptabilisent tes heures supplémentaires en heures « complémentaires ». Elles sont payées en heures normales… Lorsque j’ai refusé, ils sont devenus désagréables : « Sympa pour samedi ! On était vraiment dans la merde. » Tu peux aussi te retrouver au surgelé, à -18 degrés, sans gants. Le surgelé, c’est pour les rebelles. Tu prends les produits à la sortie du camion, tu places les produits tout au fond, les mains dans la glace. Ça fait mal.

        Une fois par mois, le magasin est ouvert aux clients. Là, il ne faut plus courir, il faut sourire. Les haut placés viennent travailler avec nous, ils prennent les caddies. Il y a une super ambiance, les chefs sont sympas, ils rigolent.

        Interdite d’aller aux toilettes

        Rebecca : Je travaillais tout le temps avec un mec aux 35 heures, qui était premier du classement. C’était le sbire du chef de secteur. Il allait lui cafter s’il me voyait parler. Une fois, on empilait des caisses vides tous les deux, et il a posé sa pile sur la mienne alors que j’avais encore mes mains dessous. Je n’étais pas assez rapide, il a lancé : « Tu te les reprendras sur les doigts si tu t’améliores pas. » Quand je ne trouvais pas les articles, si je lui demandais il me disait que j’étais nulle, que je n’avais pas à poser de questions. C’est vraiment lui qui m’a décidée à partir.

        Le boulot me rendait malade. La veille, je n’arrivais plus à manger ni à m’endormir alors que je me levais à 4 heures. J’ai posé ma démission un jour avant la fin de ma période d’essai. Je disais : « Vous n’avez pas le droit de m’interdire d’aller aux toilettes » ; ils répondaient : « On connaît la loi, si on te le dit c’est qu’on a le droit [1]. »On ne s’organise pas. On ne se syndique pas. On peste sur le chemin avec quelques collègues, on se raconte nos colères. Et ça continue.

        Les primes de fin d’année supprimées

        Julien : Tous les deux mois, nous étions convoqués pour faire le point sur les primes. Un soir, ils nous montrent les chiffres de notre magasin, qui était enfin passé troisième de France, devant Bordeaux. Ils avaient gagné 18 millions d’euros sur l’année, avec + 40 % de chiffre d’affaires. Ils nous expliquent que nous n’aurons pas notre prime car il y a eu deux arrêts maladie et un accident de travail, et ça a coûté trop cher à la boîte. Ils te disent que tu en es aussi responsable : «  C’est à toi de faire attention aux gens quand ils grimpent sur les escabeaux. Il faut leur dire, sinon après ils tombent, ils se font mal et ils prennent un arrêt de travail. » Il y avait aussi des dépenses à cause de badgeuses défectueuses. On y était pour quoi ?

        Là je me suis dit : ils ne sont pas honnêtes. Être dur, OK, mais la moindre des choses c’est d’être honnête. Ça m’a décidé à partir. Quand j’ai déposé ma démission, ils m’ont dit : « T’as pas le droit, t’as pas encore passé assez de temps avec nous. » Je savais que j’étais dans mon droit. Le dernier mois, ils m’ont mis tous les matins à 5 heures, ils ne me parlaient plus. Trop de gens démissionnent, alors il y a toujours des annonces sur le site, ils sont en recrutement permanent. Ça m’arrivait de faire mes courses sur Chronodrive. Je ne fais plus mes courses là-bas. C’est une question d’honneur. Il y avait un gars qui travaillait là depuis deux ans. Il disait : « Moi, si je gagne la cagnotte de l’EuroMillion, je rachète Chronodrive et je le brûle. »

        Propos recueillis par : Naïké Desquesnes, revue Z.

    5
    Lundi 26 Octobre 2015 à 11:17

    Avec Wilhelm Hubner, le calme va revenir au rayon produits frais des magasins français !

    Fini le boeuf au cheval, les merguez au fil de fer, les liens étranges avec le franco de porc à la Listeria de Cooperl, les tomates cerises vomitives . . . Plus de crises sanitaires à auchan. Enfin !
    Une compétence certaine pour discuter avec les apparatchiks ! Il va falloir discuter avec les nouveaux dirigeants politiques des régions afin qu’ils subventionnent encore plus les actionnaires.
    http://www.lesechos.fr/journal20151023/lec2_industrie_et_services/021421112743-wilhelm-hubner-il-ny-a-pas-eu-de-crise-sanitaire-dans-nos-magasins-1168348.php

    6
    Dimanche 24 Janvier 2016 à 11:09

    Bonjour,

    une année de plus et que de changement dans ce groupe ,heu cette holding ,heu je sais plus en fait ...

    Que penser de ce changement de Valauchan en Valfrance et surtout du nouveau calcul ?

    Et surtout ,surtout comment anticiper la tendance du nouveau taux valfrance/valauchan qui ,selon les derniers bruits de couloir serait non seulement négative mais à 2 chiffres tongue ?

    En espérant avoir votre/vos avis là-dessus ,merci !

    Cordialement .

     

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