Bonsoir

Nous savons depuis longtemps que Macron ne brasse que du vent ; il faut dire que nos politiciens de tous bords, que les idéologues dont il s'entoure (cabinets de consultants américains que le peuple français paie à prix d'or pour nous emmerder ; conseils scientifiques ad hoc qui ne font que rabâcher des conneries ; et autres conseils de défense) ... ne font que reproduire l'idéologie libérale mise en place par  les "Chicago Boys" de Reagan et Thatcher, tout ceci afin de nous museler, de nous contraindre à ses moindres désirs de puissance supposée, qu'il exerce via sa police aux ordres, comme à l'époque des gilets jaunes ... Français ... à genoux devant votre maître, des horloges, du savoir (les francais sont des veaux, comme disait de Gaulle) ... Il faut lui obéir. Il connait ce qu'il vous faut etc ... Et les médias qu'il contrôle via ses amis milliardaires (je vous fait une liste?) en rajoutent des tonnes sur la flagornerie... ça commence à se voir.

Notre bon maître vient de tomber sur un os. C'est plus facile d'emmerder les français que de faire simplement évoluer la position de Poutine ... Ce dernier doit être mort de peur devant les menaces de Macron ... et de ses fidèles alliés qui vont tous faire de magnifiques déclarations martiales, sans bouger le moindre petit doigt. Poutine avait un dossier en béton (voir les décisions de l'UE et des USA lors de la chute de l'Union Soviétique sur le respect des frontières), et il l'a bien défendu.

Le petit facteur est revenu en France, la queue entre les jambes. Macron, c'est le néant.

Le peuple français peut faire aussi bien que Poutine. Et commencer par réclamer l'arrêt immédiat des mesures d'urgence toujours en place, anticonstitutionnelles, sauf aux yeux des cacochymes siégant au conseil constitutionnel, censés défendre notre constitution, ou à ceux du conseil d'Etat,  dont le devoir est pourtant de défendre les lois de la République. Pas les intérêts de Macron et des multinationales qu'il engraisse.

Le reste ... C'est pour avril. Que Macron retourne dans le néant qu'il n'aurait jamais dû quitter ; il a assez roulé les français dans la farine.

Aux votes, citoyens.

B. Boussemart