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  • Dans mon article de juillet, l'estimation était encore trop modeste. La dernière valorisation de Sodival est de 61 266 K€. Voir mon ouvrage à venir sur "Groupe Mulliez - 2006-2010" qui sera disponible courant février.

    Le taux d'accumulation est donc bien plus important que 18% ; il tourne plutôt autour de 25%.

    B. Boussemart

     


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  • Bonjour

    A propos de l’attitude du Groupe Mulliez par rapport à mon premier ouvrage, j’ai appris avec beaucoup d’intérêt des propos de M. Arnaud Mulliez que cet ouvrage n’a pas été lu (Libération du 18 janvier 2011 - pages 19-20).

    Quelques remarques :

    Contraint à juste titre par l’arrêt de la Cour d’Appel qui m’interdisait de reproduire la logique du premier ouvrage consacré à la famille Mulliez dont je suis le co-auteur, « La richesse des Mulliez » a revêtu un caractère souvent technique, il est vrai parfois difficile d’accès à la lecture. Que j’assume totalement. Ce qui a permis de mettre au point le véritable contenu du Groupe Mulliez.

    Je rassure pourtant M. Arnaud Mulliez : les ventes ont été excellentes, largement au-dessus de la norme de cette catégorie d’ouvrage ; elles m’ont permis de poursuivre mes investigations, les bénéfices permettant de financer tous les documents auprès des greffes.

     

    Surtout, parmi mes meilleurs zones de vente, se situe une petite librairie à 10 mètres du siège du Groupe Mulliez, rue de Cambrai ; et parmi les acheteurs très intéressés  l’ensemble des cabinets d’audit qui travaillent pour le Groupe Mulliez comme commissaires aux comptes. Manifestement, mes propos n'intéressaient pas (sic) le Groupe Mulliez.

     

    J’ai pourtant fait une erreur. Je pensais être mal accueilli chez Auchan France. Aussi n’ai-je pas proposé mon travail au rayon librairie du groupe Auchan. Ce que je regrette profondément. Nul doute que M. Arnaud Mulliez réservera le meilleur accueil à ce nouvel ouvrage, en le présentant dans ses magasins. Je suis prêt à négocier l’accès aux rayons du Groupe Auchan, comme tout fournisseur.

    Après tout, comme le dit M. Arnaud Mulliez, « Il n’y a pas de secret ».
    Pari tenu.

    B. Boussemart


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  • Télécharger « mod_article2576323_1.pdf »

     

    Bonjour

    Comme pour l'article de Yann Barthès, des lecteurs n'ont pu ouvrir la pièce jointe. Voici cette pièce en PDF. Bonne lecture. Possible que le "Comité de soutien Gobin" n'ait pas pu lire le mail que j'ai envoyé. En tout cas, aucune réaction à mes propos de leur part !!!

    B. Boussemart


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  • Les compétences de M. Gobin ne se limitent pas à son expertise dans le domaine de la comptabilité. Il est également expert dans le domaine de la délation. Il en connaît un bout.

    Voir notre article dans ce blog du 24 octobre 2009 (entre les textes 4 et 5) et voir le lien ci-dessous (comme dirait M. Gobin, des pièces "accablantes"). Télécharger « mod_article2554853_1.docx » Son passage à l'émission de France 2 ce jeudi 13 janvier 2011 laisse dubitatif. Son "enquête" coïncide bizarrement avec la stagnation des ventes de l'ouvrage "Leclerc : enquête sur un système", sorti (avec pré-vente) le 27 novembre 2008 ; et d'un autre ouvrage (avec pré-vente également) "Donateurs, si vous saviez" le 12 novembre 2009. Les comptes de la société de M. Gobin font en effet apparaître un chiffre d'affaires cumulé pour 2008 et 2009 de 92 301 €, et un bénéfice cumulé de 11 211 €. Manifestement pas à la hauteur de ce qu'il espérait, suite aux ventes du seul ouvrage "Le secret des Mulliez", avec un chiffre d'affaires de 381 038 € et un bénéfice de 263 073 € (bénéfice sur lequel je n'ai pas touché à ce jour un seul centime). Toutes les pièces ci-dessus - présentées pour les deux premières par M. Gobin pour sa défense en Cour d'Appel - et la troisième dans l'argumentaire de M. Gérard Mulliez visant à m'interdire la publication de "La richesse des Mulliez", se recoupent. N'insistons pas ; elles se suffisent à elles-mêmes. Quant à la question de fond concernant M. Leclerc, nous sommes évidemment dans l'incapacité de nous prononcer. En soulignant que la douleur de la famille de François Pingam est tout à fait compréhensible. Enfin, sur les Légions d'honneur, nous renvoyons à l'article 35 de ce blog sur "Les grandes fortunes et les Légions d'honneur". Je n'ai pas attendu l'émission de France 2 pour en parler. D'ailleurs, tous les personnages illustres du monde des affaires cités dans l'émission figuraient déjà dans cet article. B. Boussemart


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