• Bonjour

    Comme l'émission de Canal + fait couler beaucoup d'encre, voici les chiffres fournis au journaliste de Canal+ et qui ne figurent pas dans le film, mais que nous avons repris dans l'émission de Radio Campus Lille du 1er Avril (pauvre Rémi Geraud - voir ses remarques dans l'article 170 ; et ce n'est pas un poisson !) :

    - Sociétés Auchan, Décathlon, Oosterdam (Pimkie ...) données consolidées de 2005 à 2013, Adeo (consolidé 2005-2012 ; 2013 non publié), Agapes (consolidés 2005-2008 ; aucune publication en consolidation depuis 2009), Kiabi Europe (sociaux 2005 à 2013), Brice et Jules (sociaux 2005 à 2012, comptes sociaux), Tapis Saint Maclou (sociaux 2005 à 2013) : résultats cumulés de ces sociétés avant impôts : 21 791 154 K€ (vous voyez bien : 21,79 milliards d'euros - et il s'agit de revenus, et non de patrimoine) ; impôts : 7 362 328 K€, soit un taux d'imposition de 33,8% en moyenne ; il reste en revenus nets pour ces sociétés : 14 072 642 K€ (soit 14,073 milliards d'euros). Fonds propres de ces sociétés à fin 2012 ou 2013 (suivant les dernières publications) : 17 914 930 K€ ; et ça, cher Rémi, c'est du patrimoine.

    - Première couche de holdings intermédiaires, de 2005 à 2013 : Lebrico, Restag, Aumarché, Fipar, Soparfil, Bolem, Haped & Mc Advertising, Tapima, Crehol, Holkia, Mufil (jusque 2012), Holympiades (2009 à 2013), Majorelle (2007 à 2011 - fusion en 2012 avec un autre holding), et Happychic (2009 à 2012) : résultats cumulés de ces sociétés avant impôts : 2 190 190 K€ ; impôts : 46 752 K€, soit un taux d'imposition de 2,1% ; résultats nets cumulés : 2 143 438. Cumul des fonds propres à fin de l'exercice indiqué : 5 038 271 K€. Donc, plus de 2 milliards de revenus, et un patrimoine accumulé à ce niveau de plus de 5 milliards d'euros.

    - Deuxième couche de holdings, de 2009 à 2013 : Surlebrico, Holmet, Surtapima, Sursoparfil, Surmufil, Surholympiades, Surholkia, Surfipar, Surestag, Surcrehol, Surbolem, Suraumarché, Suramac, Texo et Surmajorelle (jusqu'au moment de sa fusion, en 2012) : Résultats cumulés : 1 512 318 K€ ; impôts : 537 K€ reversés par l'Etat : taux d'imposition négatif ; Résultats nets cumulés : bénéfices de 1 512 855 K€. Fonds propres cumulés à fin 2013 : 6 941 339 K€. Donc, 1,5 milliards d'euros de revenus, pas d'impôt, et 6,9 milliards d'euros de patrimoine.

    - les sociétés de contrôle familial, de 2005 à 2013 : Acanthe, Cimofat et Valorest ; Valma jusqu'en 2012, date de son contrôle par les trois autres sociétés en commandite par actions : Résultats bruts cumulés : 2 842 730 K€ ; impôts : 30 219 K€, soit un taux d'imposition de 1,1% ; Résultats nets cumulés : 2 812 511 K€. Fonds propres fin 2013 pour les trois SCA : 10 572 947 K€. Le résultat net des holdings familiaux est donc de 2,8 milliards d'euros : c'est du revenu ; et le patrimoine cumulé est de 10,57 milliards d'euros.

    Ce dernier patrimoine est la valeur des fonds propres constatés dans les 3 SCA en question. Il ne faut pas confondre cette valeur comptable avec la valorisation des titres de ces 3 sociétés. Au niveau des titres détenus par l'ensemble des membres de la famille, il faut donc ajouter la valeur des titres Acanthe, Cimofat et Valorest ; ainsi que la valorisation de la société néerlandaise Claris NV, et de la société civile Soderec. C'est à partir de la valeur des titres et du nombre de titres que nous obtenons la valeur reconnue par la famille des titres contrôlant le groupe Mulliez. Il faut ensuite (très cher Rémi, je vous laisse faire les recherches pour savoir de quoi on parle en finances) faire les ajustements (prime d'illiquidité ...) ; et tenir compte des parties des sociétés de base (comme Auchan ...) détenues en propre par des composantes familiales. C'est ajoutant tout cela que l'on obtient la fortune de l'ensemble de la famille Mulliez.

    Note : j'ai volontairement indiqué des cumuls, afin que le délateur ne reprenne pas ces chiffres. Je lui souhaite bien du courage (et du temps) pour les reconstituer (n'est-ce pas, cher Rémi, c'est autre chose que publier un simple taux récupéré de la famille Mulliez pour faire la promo du bouquin et préparer les salariés à leur malheur : la baisse de Valauchan : gagnant/gagnant pour le délateur et la famille). Pour ce qui me concerne, je peux justifier société par société, et présenter le calcul des cumuls indiqués.

    B. Boussemart.


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  • Bonjour

    Guillaume Erner est peut-être sociologue, et éminent connaisseur des fringues. En tout état de cause, c'est un journaliste qui soit est nul, soit joue de la connivence avec ses confrères. Le preuve : son émission "Service Public" de mardi 10 mars sur France Inter, où figurent parmi les invités Gobin le délateur pour la présentation de son "ouvrage". Et Erner de souligner ... "Pour la première fois (sic), un journaliste lève le voile ... " sur la famille Mulliez ... Etc.

    Ce monsieur est paraît-il maître de conférences ; a priori, un gage de sérieux, car un universitaire (c'est au moins ce qui se pratiquait lorsque j'étais encore en fonction) se documente sur les sujets qu'il est appelé à traiter. Mais dans ce cas, rien. Aucune mention des mes travaux antérieurs (La richesse des Mulliez - l'exploitation du travail dans un groupe familial ; ou encore Le groupe Mulliez, pour en finir avec le conte familial). Et bien évidemment, pas la moindre allusion au livre que j'ai co-écrit avec Gobin sur Le secret des Mulliez, livre que j'ai fait interdire pour des motifs bien connus des lecteurs de ce blog.

    En fait de "lever le voile", ce journaliste fait du racolage ... ; en bonne compagnie.

    France Inter est devenu vraiment n'importe quoi.

    B. Boussemart


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  • Gobin le délateur publie dans son blog le 9 mars "Vague de cessions Valauchan avant l'annonce du taux" ... avec une interrogation en"catimini" au détour d'une phrase : "les collaborateurs actionnaires se sont-ils allégés avant une éventuelle baisse de la valeur de la part" ?

    J'admire le sens des "affaires" de Gobin le délateur. Encore une info-intox qui va bien servir la famille, si les salariés vendent leurs parts actuellement, en pensant qu'elle va baisser.

    En fait, et comme indiqué dans le précédent article, la valeur du titre Groupe Auchan progresse entre 2013 et 2014. Comme Valauchan comprend à plus de 80% des titres Groupe Auchan, et que la bourse en France a plutôt progressé entre 2013 et 2014, il est fort probable que la valeur de Valauchan aura un taux de PROGRESSION proche de celui de la valeur du titre Groupe Auchan, soit entre 3 et 3,5%.

    Gobin le délateur fait croire habilement à une baisse de Valauchan ; au profit de la famille, qui va racheter à bas prix des titres Groupe Auchan, qui vont ensuite monter dans les années à venir. Compte tenu du nettoyage opéré dans les comptes 2014. Nous y reviendrons.

    B. Boussemart


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  • Bonjour

    Comme indiqué dans l'article 167, le chiffre d'affaires consolidé du groupe Auchan a fait un bond, de 47 885 M€ à 53 272 M€ ; l'écart avec les 6 M€ annoncés tient à une légère baisse des activités en France et dans le reste de l'UE.

    De même, la valeur du titre Groupe Auchan a légèrement augmenté, et passe de 421,45 € à 435,94 €, soit une hausse de 3,44%.

    Une analyse complète de ces résultats (avec un comparatif Carrefour et Casino) bientôt sur le blog.

    B. Boussemart


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  • Bonjour

    Le 1er chapitre parle d'un escalator qui aurait empêché notre délateur d'obtenir l'interview du siècle de Gérard Mulliez. Amusant. Ce qui l'est moins, c'est la manière dont Gobin le délateur se moque de ses lecteurs. A ce chapitre, nous attribuons (avec l'indulgence du jury) une note de 1/20. Ce qui mérite quelques explications.

    Faire prendre des vessies pour des lanternes. Le chapitre commence fort, avec l'enterrement de Bruno Lussato à Paris. Tout y est : un banc et un jeune SDF, un été qui se prolonge, des personnalités de premier plan (Elkann de Fiat, Arnaud Gobet, Henri Dutilleux ... et quelques membres de la famille Mulliez) et des oligarques russes ... Puis une anecdote qui voit Gérard Mulliez reçu chez Patrice Pelat en compagnie de Jean-Yves Haberer (Crédit Lyonnais), des Bettencourt, de Bérégovoy et de Bruno Lussato, annoncer à ce dernier un peu plus tard dans la soirée la fin de son contrat de formateur chez Auchan.

    Qu'apprend t-on réellement sur ce passage qui occupe les pages 9 à 17, soit plus de la moitié du chapitre 1. Rien de bien sérieux, ni sur Lussato, ni sur les grands de ce monde cités dans le passage, à part divers éléments qui relèvent de CV récupérés chez Wikipédia ou dans diverses publications de la presse. Ainsi, les lecteurs qui veulent connaître les véritables relations entre Bruno Lussato et Auchan trouveront dans le blog de Bruno Lussato des informations plus complètes. Par exemple, le journal du 22 mars 2008, où Lussato traite de la "solidarité familiale" : "Je serais ingrat de me plaindre! Je n'ai mentionné que des étrangers. Ma reconnaissance s'est déjà exprimée envers les fidèles, les seuls qui aient été invités à ma nomination. Il y a évidemment toute la famille Auchan, pour commencer par Vianney Mulliez qui a été particulièrement honoré, y compris par le Président de la République. Ils étaient tous là fidèles au poste, anciens et nouveaux. On ne voyait d'ailleurs qu'eux. Il faut y ajouter en priorité Arnaud Gobet, avec lequel j'évolue et j'apprends tellement, puis à Sergei Pougatchev, Franck Bruneau, John Elkann et à tous ceux qui étaient présents ... ". Voici une des sources de Gobin, non citée d'ailleurs, et appropriée à sa sauce d'enterrement. Nous pouvons y ajouter l'article de Jean-Pierre Thiollet dans France Soir du 1/10/2009, qui fait référence à la légion d'honneur chez Sarkozy, avec la présence de Dutilleux ; la soirée "Hommages" du 31 janvier 2010, avec le discours du fils de Bruno Lussato qui fait référence aux clients de son père (Auchan, L'Oréal ...). Ou la description de l'appartement au Rond Point des Champs Elysées par le blogger Ardiuss 44, qui note la présence de tableaux de maîtres (Miro notamment ...), d'un épais tapis de laine ... . Mais curieusement, pas d'une porte dérobée ... Probable que Gobin le délateur voulait se mousser ... Personne ne sera là pour le contredire. Sauf que ...

    En tout état de cause, les relations entre Auchan et Lussato étaient connues de longue date ; par exemple, un article du Nouvel Observateur du 15-21 mars 1990, en page 155. Ou encore, sur la vision par Gérard Mulliez des consultants comme Lussato : voir l'interview de Gérard Mulliez aux Echos du 4/10/2013, où il indique : "Réussir ensemble ou se casser la figure ensemble : Dans les années 1980, j'ai beaucoup travaillé avec le professeur Bruno Lussato, qui enseignait l'organisation. Mais attention les conseillers ne sont pas les payeurs ; il faut être vigilant, car ne connaissant pas l'entreprise, ils proposent parfois des solutions qui ont réussi ailleurs mais pas toujours adaptées à notre culture. Cela peut amener des démotivations qui rendent certains conseils très coûteux. Quand ils sont bons, les consultants ouvrent les esprits et c'est leur utilité". Ce n'est donc pas de la "radinerie" ... Il y avait manifestement un problème entre Gérard Mulliez et certaines conceptions de Lussato. Mais Gobin le délateur n'en a cure. Il ne s'occupe ni de ce que publie Lussato sur le fond, ni sur les problèmes que sa manière de concevoir l'évolution du système capitaliste peuvent poser. Non seulement Gobin le délateur pompe des éléments à droite et à gauche sans les citer ; mais en plus, il ne comprend rien ; même pas l'écume des choses. D'où sa note de 1/20.

    Nous avons une partie de la réponse dans l'approche de Gérard Mulliez ci-dessus envers les consultants. Il serait utile pour Gobin le délateur de méditer cette petite citation de Jean Sur (qui a fait longtemps de la formation permanente) : "le rôle des formateurs en entreprise "c'est de faire passer pour une contribution fructueuse au bien commun un discours constamment mensonger dont le seul effet est d'aggraver la détresse des travailleurs". Et surtout de lire Lussato lui-même. Que dit-il par exemple sur l'évolution du système capitaliste (voir par exemple l'intervention chez Pivot sur la "crétinisation générale" le 13 février 1987 ; y figurait également le philosophe Michel Henry ; ou l'ouvrage consacré à "L'échelle humaine") : en pages 307 et sq. : "On nomme grande civilisation celle qui établit un juste équilibre entre le banalisé, le "basic", le mécanique, le minimal et le spécifique, le raffiné. ... La prééminence de marché de la beauté, du luxe, de l'artisanat, du mieux-vivre n'interdit à personne de "brûler ses vaisseaux" et de revenir à des conceptions plus constructives. Le marché de la personnalisation-civilisation permet l'alternance, l'équilibre, la fantaisie, l'expérience. En revanche le marché de la massification ne permet rien : il impose à tous des produits identiques, une vision du monde identique et détruit inexorablement ce qui peut lui faire concurrence en conditionnant les esprits et les désirs à sa vision. Si le marché de masse domine mondialement tous les autres, les chômeurs qu'il génère ne pourront se recaser nulle part, puisqu'il aura détruit les autres marchés. L'emploi va pourrir peu à peu, tout l'ensemble se désagréger et nous recevrons en boomerang l'exclusion qu'il faudra bien traiter d'une manière ou d'une autre. Je ne veux pas voir un peuple créatif, indépendant, humilié, nourri au Taco Bell, aux hamburgers regarder à travers des vitres fumées et blindées les maîtres manger des plats raffinés en écoutant du Vivaldi. La France a des atouts spécifiques, goût, culture, art de vivre, savoirs ancestraux : elle doit les développer au maximum. Mais la propagande officielle pousse les français à rêver aux machines qui vont les asservir : les robots, la haute technologie même à mauvais escient. Les prédateurs leur fourguent une camelote technobidule sans valeur, l'équivalent des réveille-matin-qui-font-tic-tac d'Oudini, et des produits calibrés pauvres et chers. Les prédateurs dégoûtent les français de ce qui est beau, de ce qui fait la valeur de leur pays et de leur culture. Le marché de la banalisation banalise l'homme, sa pensée, son comportement, son environnement. Les cultures traditionnelles, la culture savante, mais aussi la sensibilité, la fantaisie, l'intuition (le vrai génie de l'homme, ce que la machine ne fera jamais) sont écrasées par le rouleau compresseur de la massification. Le règne de la quantification réduit les individus à des pourcentages. La richesse, la possession, l'argent sont devenus des signes binaires qui défilent sur les écrans. L'art, l'amour, la vie, la mort deviennent des valeurs spéculatives en hausse ou en baisse. La médecine standardisée, technocratisée soigne des malades quantifiés et eux-mêmes standardisés. Les cas particuliers sont condamnés. Les technopoles, médicopoles, mégalopoles, futuroscope écrasent les prétentions individuelles, l'égo des citoyens. La morale, le sens des valeurs, l'indignation, la révolte sont pervertis au nom du "politiquement correct". Le délire collectiviste égalitariste professe qu'un homme en vaut un autre, c'est à dire rien. Les choix sont ouverts : pulsion de vie ou pulsion de mort. La mort, c'est l'ancienne France, grise, massifiée, démagogique, bétonnée, déculturée, polluée, la France de la Défense, de l'Opéra Bastille, de la Très Grande Bibliothèque, la France du blanc et du noir. La vie, c'est une France nouvelle, multicolore, décentralisée, où coexistent en bonne harmonie le marché des gros (produits de base) et les marchés des nombreux "petits" qui fabriquent des produits et créent les services sur-mesure, jadis considérés "de luxe", pour le plus grand nombre de citoyens, des hommes et des femmes redevenus des être humains indépendants. Le choix du troisième millénaire est entre les marchés de la personne et le marché des robots. La vraie redistribution, le vrai partage se situent entre les machines et les hommes. Il faut rétablir la hiérarchie des valeurs : redonner aux hommes la place qui leur revient, la première ; et aux machines celle qui leur convient : la dernière. Si le gris et le massifié l'emportent, les grandes fortunes seront de moins en moins nombreuses et de plus en plus puissantes. Tout le reste va baisser, sauf le nombre des chômeurs et des exclus. Les classes moyennes, la bourgeoisie éclairée vont se paupériser et disparaître. La nomenklatura ne sera plus nationale, mais mondiale. Sa puissance sera sans concurrence, et la voix discordante des dissidents humanistes pour toujours étouffée. Les chevaux de l'Apocalypse auront rempli leur mission.". C'est nous qui soulignons. Gérard Mulliez avait très bien compris tout cela. Et il utilisait ses nombreux conseillers en organisation pour autant qu'ils répondaient à l'usage décrit par Jean Sur.

    Surtout, si Gobin le délateur avait eu le courage d'ouvrir un seul ouvrage de Lussato, il n'aurait jamais écrit son charabia.

    Etaler sa fausse culture économique et financière. Ensuite, dans ce même premier chapitre, il cite de nombreux chiffres approximatifs sur la première fortune de France (sans citer les sources), sur l'opposition Arnault/Mulliez quant au classement (sans dire un mot des modes de calculs de la fortune d'Arnault), sur les taux de progression de la fortune familiale (comment calcule t-il par exemple la progression de 85% des actifs de l'AFM sur les dix dernières années), sur les taux de distribution des dividendes, sur la société Claris NV, dont la valeur a augmenté six fois plus vite au cours des dix dernières années que les autres structures (quelle valeur pour Claris NV il y a dix ans, et maintenant ; quelles autres structures ? ...).

    En d'autres termes, tout est flou. Comment croire un seul mot d'un texte qui tient davantage d'un mauvais roman de gare que d'une argumentation solide, sources à l'appui, qui constituerait en fait une réelle investigation journalistique. Gobin le délateur prend ses lecteurs pour des crétins. Et il leur ressert un plat froid, qu'il n'avait pas réussir à publier dans sa première mouture, du fait de mon opposition à ses délires "people". Mais puisque le peuple se crétinise, continuons de bon cœur !!! Quel mépris !

    B. Boussemart.

     

     


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