• Vive la culture !

    A l’occasion d’une opération de scission, Cultura vient de dévoiler une petite partie de l’accumulation de capital qui préside à cette société « Mulliez ». Nous avons en effet souligné à  de multiples reprises que cette société n'avait jamais publié de comptes, depuis sa création, c'est à dire depuis 12 années. Le procureur près le Tribunal de Commerce de Bordeaux doit avoir trop à faire, pour importuner la famille Van Der Wees - Mulliez ! Et lui rappeler ses obligations légales en termes de publications de comptes.

    Cultura (Sodival) a été créée avec des apports en liquide et en nature à hauteur de 6 967 K€ en 1998 ; douze années plus tard, Cultura vaut (dans le cadre d’échanges avec des salariés privilégiés) 50 279 K€.

    Ce qui donne un taux de profit moyen d’environ 18% par an, sur chacune des 12 années.

    La « culture », ça rapporte.

    D’autant que Sodival devient maintenant un holding pur, qui va avoir pour filiales :
    - une société nommée « Socultur » qui va reprendre les 50 magasins à l’enseigne « Cultura » ;
    - une société Sodiart, qui va contrôler l’enseigne « Art & Cie » ;
    - et la société Milonga, rachetée par Sodival en 2008.

    Dans l’attente de racheter la FNAC au groupe Pinault ?
    Mais alors, Sodival devrait perdre son indépendance, et avoir recours aux fonds de l’AFM.
    Pour le plus grand bonheur des familles Van Der Wees-Mulliez et Thierry Mulliez, actuels actionnaires de Sodival.

    Bien évidemment, les salariés sont au courant de toutes ces opérations ?

    B. Boussemart

     


    6 commentaires
  • Télécharger « mod_article1441852_1.pdf »

    Vous trouverez en pièce jointe le bon de commande pour mon prochain ouvrage.
    Comme pour "La richesse des Mulliez", votre chèque ne sera encaissé que lorsque la livraison sera effective.
    La sortie est prévue courant septembre 2010.
    Mais :
    - comme nous analysons de très près les fortunes de Mesdames ou Messieurs Bettencourt, Arnault, Pinault, Bolloré, Bouygues, Dassault, Dreyfus, Hermès, Lagardère, Naouri, et bien évidemment Mulliez, en liaison avec le groupe belge Frère et son grand ami canadien Desmarais ;
    - tout ceci en liaison avec les banquiers qui leur prodiguent conseils et moyens financiers, et les politiciens de tous bords qui organisent le libéralisme avancé qui nous a mené à la crise mondiale et européenne, ces mêmes politiciens qui veulent nous faire serrer la ceinture pour payer les inepties financières de ces mêmes grandes fortunes et banquiers ;
    nous nous attendons à des problèmes judiciaires de toutes natures.
    La date de sortie sera donc liée à ces éventuels problèmes. Mais nous publierons, en tout état de cause.

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  • Premier exemple.
    En juillet 2008, le magazine "Challenges" met en tête de son classement "2007" la famille Mulliez, avec 21 milliards d'euros ; se trouve relégué à la seconde place le groupe Arnault, avec 18,3 milliards d'euros.
    En juillet 2010, le même magazine met le groupe Arnault en tête des fortunes françaises, avec 22,76 milliards d'euros ; et en seconde position, la famille Mulliez avec 19 milliards d'euros.
    Entre juillet 2008 (avant la crise) et juillet 2010 (après la crise), la fortune du groupe Arnault aurait gagné plus de 24% en valorisation ; sur la même période, la famille Mulliez aurait perdu 9,5% de valorisation.
    De qui se moque ce magazine ? A t-il simplement une idée de ce qu'il publie ? Au regard des évolutions respectives des deux groupes ?
    Le moins que l'on puisse dire, c'est que la cohérence des analyses financières n'est pas le point fort de ce magazine !!!
    La suite des "bêtises" prochainement.
    B. Boussemart

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  • Dans son numéro 220 sur les grandes fortunes, en date du 6 juillet au 25 août 2010, Challenges publie son nouveau classements sur les "Fortunes de France". Que d'erreurs ! Dans nos prochains articles, nous allons pouvoir démontrer que la plupart des estimations sont "pipeau". Le groupe Mulliez reste largement en tête ; le groupe Arnault est largement surévalué ; le groupe Dreyfus donne dans le people ; quant à la fortune Bettencourt, Challenges oublie l'essentiel. Et nous donnerons des précisions très utiles sur les groupes Pinault, Hermès, Bolloré, Bouygues, Naouri, Dassault et Lagardère ; sans oublier les relations de nos grandes fortunes avec le groupe belgo-canadien du baron Frère et de Paul Desmarais. La plupart de ces grandes fortunes entretiennent en outre des relations avec notre Président et/ou son entourage ; depuis de très nombreuses années.
    Bref, notre prochain ouvrage sur "Les grandes fortunes, les banquiers et les politiciens" est plus que jamais indispensable, en cette période "chahutée". Encore un peu de patience.
    B. Boussemart

    PS - Nous mettrons bientôt notre ouvrage en pré-vente sur le site des "Editions Estaimpuis".

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  • Dans notre article 31, avec les informations disponibles et des hypothèses de répartition entre la caisse de rachat et les titres Groupe Auchan au sein de Valauchan, nous avions estimé (voir notre dernière hypothèse) que l'action "groupe Auchan" valait 361,83€.
    Une opération récente confirme cette dernière évaluation. Les échanges qui ont eu lieu sur 16 904 titres Groupe Auchan ont été valorisés 6 107 049,6 €,, soit une peu moins de 361,28 € par titre.

    A vos règles de calcul pour déterminer la nouvelle valeur de la fortune de M. Gérard Mulliez, de l'AFM etc..., et de la comparaison qui va bientôt pouvoir être faite avec "Challenges".

    B. Boussemart


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